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18 août 2005 4 18 /08 /août /2005 00:00

Mardi 16 août – Retour au pays

 

On se lève tôt, mais difficilement, car il manque quelques heures de sommeil pour faire une nuit normale. Tout le monde est au petit-déjeuner à 8h. On charge ensuite le car et la remorque, on vide et on nettoie les chambres. Et à 9 heures, tout le monde est dans le car pour se rendre au lycée où l’on doit récupérer notre pique-nique du midi. Nos guides sont là qui nous attendent, avec Henry et Philippe, ainsi que Sophie Coursaget. On se dit merci et au revoir avec beaucoup d’émotion, et même quelques larmes pour certains ou certaines ! Et puis la Bretagne nous attend, alors on prend la route.

Le voyage se passe sans problème, et… sans bruit le matin, puisque tout le monde dort pour récupérer d’une courte nuit. L’après-midi, on fait une longue réunion-bilan pour les responsables puis un débriefing commun avec le groupe. On arrive vers 17h30 à Saint-Pol, et déjà il faut rentrer pour s’occuper de ses costumes, puisqu’un spectacle à La Forêt-Fouesnant nous attend le lendemain.

 

Zoom sur… L’avenir

 

Et il faut bien y penser, à peine le festival terminé. Nous sommes revenus de Confolens avec une invitation pour le festival de Montignac et un projet de « soirée France » au festival de Felletin en 2007, ainsi que des contacts pour participer à des festivals au Pérou, en Corée et au Mexique. Ce qu’il en sera, l’avenir nous le dira.

La priorité, à l’heure actuelle, c’est de faire aboutir l’invitation de Rolf Kaufman au Festival de Caroline du Nord pour l’été 2006. Nous souhaitons depuis très longtemps participer à un festival en Amérique du Nord, et ce festival est réputé comme le plus beau des Etats-Unis. Il va maintenant falloir régler toutes les questions inhérentes à ce genre de projet : financement des billets d’avion, organisation logistique, transport des costumes et des instruments. Nous vous tiendrons au courant dans ces pages. A bientôt.

 
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17 août 2005 3 17 /08 /août /2005 00:00

Confolens : le bilan du Directeur Artistique

Confolens : ce nom a rythmé toutes nos répétitions depuis septembre 2004. Nous avons travaillé, créé, recherché pour ce festival qui compte parmi les plus prestigieux du monde. Je vous avais demandé de penser, de rêver, de vivre et de respirer du Confolens afin d’être prêt pour ce rendez vous avec l’un des public les plus exigeants qui soit en France. Cela à représenté des milliers d’heures de travail, nombre de week-ends de répétitions, et nombre d’heures de préparation en couture, broderie, musique, recherche ethnomusicologique, ethnochorologique, montage et préparations d’expositions, politique de communication, travail avec les acteurs économiques et investissements des cadres et des danseurs de Bleuniadur. Le festival vient de s’achever, les premiers bilans sont à faire.

Comme dans toute action, ces bilans sont mitigés, et vous trouverez ici quelques commentaires jetés à froid, qui seront par la suite affinés.

Tout d’abord, Confolens c’est la rencontre avec des hommes et des femmes d’exception. Nous avons côtoyé et échangé avec des danseurs de tous les pays, absolument extraordinaires, souvent fabuleux sur scène et d’un contact humain chaleureux et délicieux. Ceci nous a permis de découvrir et de connaître non seulement des répertoires de danse et de musique, mais en plus de partager avec leurs interprètes des moments de rencontre et de partage de joie intense, c’est une parcelle de chacun des pays présents que nous partagions, au plus profond de l’âme de ces pays.

Confolens, c’est la rencontre avec Henri Coursaget. Vous avez pu constater, comme moi, l’immensité de cet homme, dans sa foi dans les hommes et leurs cultures, dans son aura personnelle, dans sa façon d’aimer et de faire aimer les peuples et les gens entre eux. Vous avez comme moi apprécié son immense gentillesse et compassion. Cet homme est dangereux, il est contagieux : à son contact on se sent plus grand, plus ouvert, et plus rien n’est impossible. Dans votre vie, cet homme fera sans nul doute partie des hommes qui comptent , qui marquent, qui orientent des destins. Vous pourrez dire : « j’ai connu Henri Coursaget » et en être fier.

Autre rencontre, celle avec le directeur du Festival, Philippe Beaussant. On l’a souvent vu en retrait d’Henri et, lors du festival, nous avons pu apprécier sa gentillesse, sa fermeté et nous avons découvert un grand directeur, à la fois complémentaire du fondateur du festival, et visionnaire quand à l’évolution de Confolens, qui allie à la nécessité de faire tourner la machine, le fait de la rendre humaine et de consacrer un moment, un mot une attention aux acteurs du Festival.

Si je vous dis Martine et Emmanuelle, cela vous évoquera sans nul doute beaucoup d’émotion, mais aussi compétence, générosité, dynamisme et dévouement. Oui, les meilleures guides que nous n’ayons jamais eues sur un festival depuis longtemps sont françaises. Les guides de Kolobrzeg nous avaient jusqu’à présent laissé le meilleur souvenir, les guides de cette année ont été extraordinaires. Alors que le groupe arrivait à Confolens avec un sentiment mitigé (j’y reviendrai plus tard), elles ont réussi à remettre le groupe en selle et à lui faire aimer le festival et à y trouver sa place. Encore une fois grand merci à elles et aux autres guides du CIOFF France qui se dévouent sans compter pour le bien être des groupes et la réussite des festivals.

Vous avez comme moi apprécié l’efficacité et la qualité de travail des techniciens son et lumière lors des spectacles, leur professionnalisme et là aussi leur gentillesse et la qualité de leurs contacts humains. Avant de partir nous avons aussi remercié les trois présentateurs, qui introduisaient nos prestations : poésie des textes, respect de notre culture, excellente synthèse de notre travail et de ce que nous sommes sur scène. Ces amateurs sont de vrai pros.

C’est aussi la rencontre avec Zoran qui nous a permis de développer un atelier où nous avons pu rencontrer des festivaliers et leur faire connaître notre répertoire de musique et de danse et mettre en place un atelier lecture chorégraphique sur notre approche de la mise en scène.

Il va sans dire que nous nous devons également de remercier les centaines de bénévoles qui assuraient la logistique du festival, restauration, hébergement, entrées, etc.… Nous n’avons jusqu’à présent jamais fréquenté, sur une longue durée, un festival où les bénévoles étaient aussi pro, où tout problème trouvait une solution et ce dans une ambiance d’accueil et de convivialité toujours présente malgré la fatigue, la charge de travail ou les horaires décalés. Ces bénévoles sont à prendre en exemple et j’espère que vous vous en inspirerez dans vos engagements respectifs.

Alors vous allez me dire, ce festival aurait dû être un rêve, un moment de bonheur frisant la perfection, et pourtant cela ne l’a pas totalement été, au moins au début du festival. Qu’est ce qui a coincé pour qu’il en soit ainsi ? Comme vous le savez, Confolens c’est aussi une équipe de programmation et c’est là que ça a coincé, en ce qui nous concerne. Je ne parlerai pas pour les autres groupes, même si les échanges que nous avons pu avoir allaient dans ce même sens.

Nous avons pu constater que cette équipe forme une secte, un Etat dans l’Etat, un clan dans le festival, et ne présente pas les caractéristiques et l’esprit dégagé par le restant du festival. Ici, pas d’accueil, pas la moindre politesse, pas le moindre bonjour, merci ou s’il vous plait. Des danseurs traités comme des débiles à la limite comme des chiens, une équipe qui manifestement n’avait jamais visionnés notre DVD de démonstration. Une équipe qui n’a eu de cesse de nous harceler, souvenez-vous le nombre de fois où nous avons été interpellés en répétition, alors que presque toujours ce n’était pas de notre groupe qui s’agissait. Certes, notre invitation à Confolens n’était pas de leur fait, certes certain d’entre eux « n’aiment pas les bretons » et si ça n’avait tenu qu’à eux nous n’aurions jamais été invités. Mais voilà l’invitation avait été faite par Henri et nous avions décidé de l’honorer et nous avons tenu en bon Bretons léonards que nous sommes notre parole et notre engagement, et ce malgré les autres propositions alléchantes qui nous avaient été fait en cours d’année (je pense ici à la création à Martigues et à la tournée en Hongrie où nous rêvons d’aller depuis plusieurs années). Je vous avait demandé de faire fi ce cet état de fait et de vivre le festival au mieux, en donnant qualité sur scène, politesse, exactitude et gentillesse, ce que vous avez fait. Je sais que certains ont trouvé cela dur. C’est vrai qu’en plus d’être désagréable l’équipe de programmation n’était pas performante dans les répétitions et dans leur mise en scène qui date des années 1970, que ce soit en ouverture, clôture ou fresque, et que leur travail est loin des nuits magiques de Lorient ou d’autres festivals auxquels nous avons participés, qu’on est venu avec une Rolls et qu’ils ne savaient conduire qu’une Deux-chevaux, mais c’est du fait de garder ses engagements, de garder le cap, de rester ce qu’on est quelque soient les circonstances qui permet de grandir et de ce dépasser, et cela vous avez su le faire. Je sais que le fait de ne pas vouloir nous communiquer les durées exactes de passage nous ont obligé sur le festival à travailler et faire des adaptations au répertoire de musique et de danse, que cela a rajouté à votre fatigue, mais vous l’avez fait sans rechigner et je vous en remercie. N’oubliez pas ce que je vous ai écrit plus haut dans ce texte, la grandeur est contagieuse, et l’on se doit d’être grand.

Alors, me direz vous, qu’est ce que j’ai pensé de Bleuniadur à Confolens ? En ce qui me concerne, j’ai été satisfait du groupe dans son comportement, sa discipline et fier de ses prestations. En ce qui concerne, l’organisation générale a parfaitement fonctionnée. Les responsables ont été présents et à la hauteur de leur tâche, y compris les nouveaux, les jeunes qui commençaient cette année. Les danseurs ont été, dans leur comportement hors de scène, à la hauteur de ce qu’on leur avait demandé, et sur scène ils ont été au mieux de leurs possibilités. Je tiens ici à redire encore une fois aux filles les progrès énormes en technique et en présence qu’elles ont réalisé cette année, tout en n’oubliant pas les garçons sur qui j’ai toujours pu compter. Le groupe en a gagné en technique, puissance et cohésion.

Alors Confolens c’était comment ?

De Confolens on va en garder l’image d’un grand festival, ou l’on est bien accueilli par l’équipe du festival, on va en garder ces moment d’échange, ces fabuleux moments d’émotion, repensez aux larmes de bonheur partagé avec l’Uruguay et les Tchouktches lors de la soirée nuit en fête – une petite pensée particulière pour Jean Michel - repensez aux retrouvailles avec Panama, aux échanges avec l’Afrique du Sud, repensez aux échanges avec les bénévoles et les cadres du festival, les retrouvailles avec les cadres des festivals qui nous ont déjà reçus en France et qui étaient présents à Confolens.

De Confolens on va garder l’image d’un Bleuniadur soudé, capable de prendre sur lui et de faire partager au public sa joie, sa bonne humeur et de faire reconnaître sa culture à un niveau artistique rarement présenté par nombre de groupes bretons, d’une extraordinaire complicité entre les musiciens et les danseurs du groupe.

De Confolens on va garder aussi l’image d’un rendez–vous manqué avec la scène, et de rencontres non achevées avec certains groupes. Les regrets de l’Uruguay de n’avoir pas pu échanger un moment de création avec nous a encore rajouté à ce sentiment.

De Confolens on va garder nos rencontres avec le public qui en redemandait toujours, nous interpellant dans la rue par des mots ou des remarques empreintes de gentillesse et d’encouragement. On va garder aussi cette chose extraordinaire que des publics qui nous ont vus dans d’autres festival viennent spécialement à Confolens pour nous voir, et ceux qui n’en n’avaient pas vu assez à Confolens et qui sont venus en délégation voir notre spectacle de La Forêt Fouesnant. C’est une chose à peine imaginable, cela me laisse pantois.

De Confolens on gardera aussi le nombre d’invitations à des  festivals qui nous ont été faites tant en France qu’à l’étranger. Nous garderons l’augmentation des visites sur notre site, nous garderons les messages et les articles, les opinions qui fleurissent sur différents sites consacrés aux arts traditionnels, nous garderons le souvenir d’un passage. Je vous disais « il y a un avant et un après Confolens », en ce qui nous concerne j’estime que ce passage a été réussi.

Pour conclure, je voudrai vous remercier tous pour cet engagement important que vous avez réalisé pour ce festival, et je voudrais vous rappeler que si cela a été possible, en plus de votre travail c’est aussi grâce aux festivals CIOFF de Montoire, de Gannat, de Reims, de Saint Maixent-l’Ecole, de Felletin, de Saintes, de Concarneau, de Plozévet, de Martigues qui nous ont fait confiance et plus que jamais nous nous devons de porter haut les valeurs promues par ces festivals et le Cioff France, qui sont complémentaires des valeurs d’ouverture et de grandeur que je vous demande mettre en œuvre.

Merci à tous et à chacun.

Alain Salou

Directeur artistique de Bleuniadur.

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15 août 2005 1 15 /08 /août /2005 00:00

Bleuniadur donnait son spectacle mercredi 17 août à la Forêt-Fouesnant.

Ouest-France 19/08/2005

 
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8 août 2005 1 08 /08 /août /2005 00:00

La saison se termine... Venez nombreux pour notre dernier rendez-vous public : 

Samedi 24 et dimanche 25 Septembre : Spectacle "Ololé" à Saint-Pol-de-Léon, avec l'ensemble de cuivre "Bicinia" et Gwelloc'h. 

 

 

 

 

 

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8 août 2005 1 08 /08 /août /2005 00:00

Voici une série de peintures faites par le peintre Guiriec, avec pour thème des chorégraphies de Bleuniadur.

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2 août 2005 2 02 /08 /août /2005 00:00

De nouvelles photos de Jean-François Le Saint prises au festival Gouelioù Kastell-Paol le 17 juillet. Un grand merci à Jean-François pour ces photos !

       

 

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21 juillet 2005 4 21 /07 /juillet /2005 00:00

 

Solenn et Fabrice en costume de La Feuillée (milieu XIXe siècle) dans la suite du pays de Chateaubriant. Une photo de Jean-François Le Saint à Saint-Pol le 17 juillet. Jean-François est photographe et peintre. Il a réalisé des pastels de Bleuniadur que l'on peut voir en cliquant ici. Pour voir l'ensemble de ses oeuvres, visitez son site : jfls.free.fr

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5 juillet 2005 2 05 /07 /juillet /2005 00:00

Devant le Grand Théâtre après la remise des médailles

 

Les danseurs de Bleuniadur Gwenn ont participé le week-end dernier aux rencontres chorégraphiques nationales de la Fédération Française de Danse à Reims. Ils étaient en compétition vendredi au Grand Théâtre de Reims avec les seize autres groupes de la catégorie « adolescents » qui se présentaient dans des styles très différents : classique, contemporain, jazz ou hip-hop. Le jury, présidé par Jean Pomarès, directeur de la danse au Ministère de la Culture, était composé de professionnels, danseurs, chorégraphes, directeurs artistiques de compagnies et jurés de conservatoires nationaux, avec notamment Claude Ariel, premier danseur à l’Opéra de Paris et maître de la ballet à la Scala de Milan et Quentin Rouillet, directeur artistique auprès de Carolyn Carlson.

 

Les danseurs de Bleuniadur Gwenn ont présenté « Hanter’natif », un pièce qui intègre à la danse traditionnelle des éléments de danse contemporaine et fait se rencontrer les sonorités du djembé et de la musique bretonne en passant par la musique galicienne. La chorégraphie a reçu un accueil très enthousiaste du public. Le jury a apprécié l’originalité de la pièce, les qualités techniques du groupe, l’énergie et la joie communicative des jeunes danseurs et a attribué à cette chorégraphie une Médaille de Bronze et une mention spéciale pour sa poésie.

 

Deux autres chorégraphies de Bleuniadur étaient présentées aux Rencontres Nationales. Eric David, en catégorie soliste, obtient le niveau national avec « Partir ». Anthony Prigent, qui avait obtenu l’an dernier un tutorat national du Ministère de la Culture, faisait l’ouverture hors sélection du spectacle du samedi après-midi. Il a présenté le résultat du travail réalisé lors de son tutorat avec la chorégraphe Nadège MacLeay, un solo intitulé « Changement de Cap ».

 

Le public pourra découvrir les nouvelles chorégraphies de Bleuniadur à Saint-Pol-de-Léon le lundi 11 juillet lors de la soirée d’élection de la Reine du Léon et du Trégor et le dimanche 17 pour le festival Gouelioù Kastell Paol.

 

En coulisse : habillage et préparation avant de monter sur scène

 

Les danseurs et leurs accompagnateurs :

Annaig, costumière ; Alain, directeur artistique ; Fabrice, chorégraphe

 

Nous avons une pensée pour les danseuses du CEMA de Saint-Pol-de-Léon qui ont fait le déplacement à Reims avec nous et nous adressons toutes nos félicitations à Marie Coquil et aux danseuses de "Au coeur de la Danse" qui ont obtenu une médaille de Bronze en catégorie "Adultes" pour "En attendant la pluie".

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29 juin 2005 3 29 /06 /juin /2005 00:00

Ololé

 

Nouvelle création 2005 de Bleuniadur, avec l’ensemble de cuivres Bicinia et Gwelloc’h.

 

C’est au cœur de la Bretagne que se sont maintenues certaines des traditions les plus anciennes d’Europe. Les femmes et les hommes de ce pays ont perpétué des chants, des musiques et des danses ailleurs disparus, jusqu’à nous les transmettre aujourd’hui. Ce spectacle vous invite donc à un voyage unique dans le temps aux origines de la musique et de la danse bretonne, du fonds ancien jusqu'à la tradition populaire du début du XXe siècle. « Ololé », l’appel des bergers datant de temps immémoriaux viendra ponctuer ce voyage pour évoquer les différents mouvements qui ont balisé l’évolution de la danse et de la musique en Bretagne. L’énergie des danseurs de Bleuniadur rencontre ici la sonorité riche et chaleureuse de l'ensemble de cuivres Bicinia pour faire découvrir, avec le groupe Gwelloc’h, un répertoire original dans ce spectacle riche en sons et en couleurs, plein de vivacité et d’émotion.

 

Théâtre Sainte Thérèse - Saint-Pol-de-Léon

Samedi 24 septembre 20h30

Dimanche 25 septembre 15h00

 

Plein tarif : 10€

7-18 ans : 5€

Gratuit pour les moins de 7 ans

 

Réservations :

Office du tourisme de Saint-Pol-de-Léon

Tél. 02 98 69 05 69

 

www.bleuniadur.com

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28 juin 2005 2 28 /06 /juin /2005 00:00

Le Télégramme, 28 juin 2005

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